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C'est une plage ravissante à l'est de Bonifacio. On y accède en empruntant une piste de quelques kilomètres qui aboutit à une paillotte (les pizzas ne sont pas mauvaises) non loin de laquelle les habitués et touristes peuvent garer leurs voitures. Ensuite il n'y a plus qu'à marcher un petit kilomètre sur le sable si l'on veut être loin des autres : la plage est grande et nous avons pris l'habitude, Marie Cécile et moi, d'aller à son extrémité. Ce n'est pas tant qu'il y ait beaucoup de monde en contrebas de la paillotte, mais nous aimons la tranquillité. Et puis, il faut bien dire que cette partie écartée de la plage est non seulement jolie et paisible, mais qu'y cohabitent harmonieusement et sans intégrisme de part et d'autre, nudistes et adeptes du tissu, dont nous sommes. Même si les maillots de bains que porte ma femme sont assez minimalistes. Il faut bien le dire, à 35 ans, Marie Cécile est assez somptueuse : elle est grande, 170, plutôt fine, 58 kilos, mais bien en rondeurs aux bons endroits. Son cul est cambré comme celui d'une africaine et ses grosses poires aux tétons épais tendent assez fièrement le débardeur noir et moulant qu'elle porte aujourd'hui. Sa longue chevelure brune descend en cascade sur des épaules assez larges et bien plantées.
C'est la troisième fois que nous venons ici, et ce n'est pas un hasard. Pour ma part, cela faisait longtemps que je fantasmais sur le spectacle de ma femme exposée aux regards des autres. Je ne lui avais jamais proposé jusqu'ici, sinon obliquement, d'aller nous mettre sur à poil sur une plage. Mais là, l'occasion a fait le larron. Cette extrémité de la plage est objectivement tranquille, l'eau y est superbement transparente, un vrai lagon lorsque le vent souffle de l'Ouest. Bref, les premiers jours, Marie Cécile a gardé son bikini, puis elle a enlevé le haut, j'attends aujourd'hui tranquillement qu'elle enlève le bas comme je le lui ai suggéré sur un ton plaisant.
Le fait est que mon épouse a changé d'opinion sur le nudisme. Ou pour le dire autrement, qu'elle apprécie de s'exhiber dans ces conditions : ce n'est pas à proprement parler une plage nudiste mais un endroit où les gens se dénudent, nuance... Qui plus est, les quatre ou cinq couples que nous avons vu hier et avant hier étaient plutôt pas mal fichus, et deux d'entre eux début de trentaine étaient carrément bandants. Il y a quelques hommes seuls, mais discrets, et dont il ne m'a pas semblé que les regards étaient trop pesants. Bref, voilà pourquoi je parierai volontiers que Marie Cécile aujourd'hui est prête à se mettre complétement à poil. Et cela m'excite il faut bien le dire. J'aime sentir les regards des mecs se poser sur son corps. Cela ne fait pas de moi un candauliste, disons que mon petit cinéma intérieur en est pimenté quand je la baise. Et puis, elle aussi aime bien qu'on la mate, je le vois bien à sa manière de faire comme si. Comme si elle savait pas que son côté bombasse bourge affole les mateurs. Ce matin, il est tôt et il n'y a pour l'instant qu'un couple, la trentaine, que nous avons déjà vu la veille, la fille est pas mal, les seins un peu petits à mon gout, mais bien plantés. Le mec est un peu mou, le visage flamboyant de coup de soleil. Il y a aussi un homme, baraqué, bien enveloppé et tout bronzé qui vient d'amarrer son petit bateau, genre Chris demetevler escort Craft avec cabine et grandes cannes à pêche. Il descend l'échelle arrière et avance dans l'eau en tenant une serviette et un parasol à bout de bras ; je crois bien que je l'ai aperçu hier, qui nous suivait à distance respectueuse, lorsque Marie-Cécile et moi sommes partis en exploration derrière la dune. Il y a là une sorte de lagune qu'on peut remonter dans 20 ou trente centimètres d'eau délicieusement chaude, vers un maquis touffu et chargé des odeurs du ciste et de la myrte. Marie Cécile n'a paru rien noter, mais le bonhomme devait, mine de rien, surveiller si nous allions nous livrer à quelques ébats. En tous cas, si ce n'est pas lui, il a le même gabarit que le type d'hier.
Tandis que nous nous installons à distance raisonnable du couple, je constate avec plaisir que Marie-Cécile enlève son débardeur et dégrafe son soutien gorge. Regard aimanté, derrière ses Ray Ban, du rougeaud. Marrant comme on voit bien quand quelqu'un mate en faisant semblant de rien, même derrière des lunettes de soleil! Il faut dire qu'elle a des putains de belles mamelles. Bien lourdes mais pas tombantes, avec de grosse aréoles et les tétons prêts à se dresser. On a envie de la traire immédiatement! Et voilà. Tandis que je la détaille, elle regarde autour d'elle puis après un quart de seconde d'hésitation, et comme si elle se jetait à l'eau, elle enlève le bas puis s'étend sur le ventre, les cuisses légèrement écartées sur son minou épilé. Purée, à chaque fois que je vois son cul, je ne peux m'empêcher d'admirer, elle est vraiment vachement bien foutue.
Le type du bateau a l'air de penser pareil parce qu'en abordant la plage, son regard est aimanté par le cul de ma femme. Bon sang il est monté comme un éléphant, sa grosse trompe oscille lentement à chaque pas, je n'ai jamais vu un truc pareil : elle n'est pas très longue mais très, très épaisse! Heureusement qu'il ne bande pas. Marie Cécile a l'air de lui plaire et je vois bien qu'il la détaille de la fesse aux nichons. Il a dû voir que je le regardais à travers mes lunettes de soleil et m'adresse un grand sourire tout en exhibant ses génitoires invraisemblables. Pourvu que Marie ne se retourne pas, elle aurait un choc. Ouf, le type après avoir bien contemplé le spectacle s'est posé dans le sable, à égale distance entre le couple et nous ; il a planté son parasol et s'est étendu, yeux mi clos mais tournés vers nous.
Je lis Corse Matin pour me donner une contenance et masquer un début d'érection qui heureusement dégonfle assez vite.
Marie Cécile me demande si je veux aller plonger, mais là j'ai la flemme et surtout une idée derrière la tête. Je lui fais signe que je vais somnoler mais je mate avec curiosité : va-t-elle mettre son bikini? Je parierai que non, et j'ai gagné. Elle se lâche la petite salope!
Elle prend son masque et un tuba et s'éloigne tranquillement vers le bord de l'eau. Je regarde du coin de l'?il et évidemment, le rougeaud n'en perd pas une miette en faisant semblant de rien. Mais le gros s'accoude pour mieux contempler son joli postérieur tandis qu'elle marche vers l'eau. Il fait exprès de ne pas se cacher et je me détourne confus lorsque je le vois de nouveau sourire en dikmen escort croisant mon regard. Marie-Cécile pendant ce temps attache son masque et s'éloigne doucement, les fesses sortant joliment de l'eau. Merde, du coin de l'?il, je vois que le type s'est relevé et se dirige vers moi ; il m'interpelle d'un ton avenant :
- On a de la chance, pas une vague et pas de méduse aujourd'hui, idéal pour plonger.
Je lui souris, un peu gêné de voir son appareil génital de si près. Bon dieu, il a vraiment une sacrée queue ce salaud, me dis-je in petto, un gland de la taille d'un bel abricot au bout d' un large tuyau marronnasse parcouru d'une veine violette. Il regarde la mer tout en se tripotant négligemment les couilles et moi je suis comme un con à ses pieds. Je suis persuadé que ce salaud le fait exprès.
- Je m'appelle Paul, me dit-il avec jovialité, et ça fait des années que je viens ici, c'est un vrai bonheur.
- Moi, c'est Serge. Je réponds bêtement en le regardant dans les yeux pour ne pas regarder son sexe. Il a l'air de le savoir, ce fumier, que j'imagine son engin dans le minou de ma femme ; il soupèse ses grosses couilles l'air de rien, comme s'il voulait souligner à quel point elles pourraient claquer sur son joli cul.
- Et vous c'est la première fois que vous venez me demande-t-il?
- Dans ce coin oui, je réponds, et ça nous convient bien, pas trop de monde et puis on peut pratiquer l'intégral sans être emmerdé j'ai l'impression?
- Il a un bon gros rire, oh oui, ici c'est tranquille, chacun fait ses affaires et les gens du coin sont pas gênants, je les connais bien depuis le temps et c'est des copains qui tiennent la pizzeria. Faut-dire qu'on fait vivre le commerce local!
- Votre femme aime la plongée, je vois! c'est bien, si vous avez envie je vous indiquerai quelques coins pas loin mais fabuleux et peu profonds où il y a des murènes, des poulpes, des rascasses un vrai bonheur. Avec mon bateau, c'est l'affaire de quelques minutes pour y aller. Alors si le c?ur vous en dit, ce sera volontiers, j'aime bien faire profiter de mon bateau, je suis pas du genre misanthrope. Pour tout vous dire, tout seul je profite moins!
- Merci, je dis, c'est gentil, j'en parle à ma femme quand elle revient.
- Oh ben à l'occasion, ajoute-t-il avec un gros rire, rien d'obligé en vacances hein!
Et il s'éloigne tranquillement vers les rochers.
Je me rallonge sur la serviette tellement troublé que je mets un temps à constater que mon maillot de bain est déformé par une érection intempestive. Je me mets sur le ventre et j'essaie de me calmer en somnolant un peu. Un quart d'heure plus tard, Marie Cécile revient toute contente. Hum, elle est bandante avec son corps tout mouillé et ces gouttes d'eau qui perlent de sa chatte. Et puis ses gros seins tous blancs sur son corps bronzé, hum, elle m'excite.
- J'ai pas vu grand chose, mais l'eau est bonne!
- Moi, j'ai un peu discuté avec le type au bateau qui est là-bas sur sa serviette, il m'a dit qu'il y avait un coin bourré de beaux poissons pas très loin.
- Oh quelle bonne idée, j'adore, tu lui demanderas des précisions, pourquoi pas, s'il est sympa, ça serait chouette , l'eau est tellement limpide!
- Oui, c'est pas elvankent escort loin et il a proposé de nous y emmener avec sa vedette
- renseigne toi sur lui quand même?
Marie Cécile vient se coucher sur sa serviette en ronronnant de bonheur
- c'est bon d'être nue au soleil, finalement tu avais raison, j'adore!
-Avec un sourire égrillard, elle ajoute
- Et ça me donne des envies...
Je n'en reviens pas de voir ma femme aussi à l'aise. Elle écarte bien les cuisses pour profiter du soleil! D'accord il n'y a personne devant nous mais tout de même..
Quelques minutes plus tard je m'assoupis. Quand je me réveille, j' entends Marie-Cécile parler avec un homme dont la voix me rappele confusément quelque chose. En ouvrant les yeux je vois Paul, en bermuda et t-shirt qui me fait un clin d'oeil
- Attention au soleil, ca tape dur ici, faut aller se baigner souvent mon vieux! D'ailleurs j'en parlais à votre femme.
- Oui Serge, monsieur, enfin Paul m'avez-vous dit, a un cabinet d'affaires à Paris et passe ses vacances ici régulièrement.
- Mais oui, j'adore cet endroit et je peux laisser mon bateau au mouillage devant la pizzeria, personne ne vient m'emmerder. Donc je disais à votre femme que j'habite le 7 ème tout comme vous
- Il n'y a pas de hasard, ajoute aimablement ma femme.
La conversation se poursuit pendant quelques minutes sur ce ton. Je n'en reviens pas de voir ma femme, à poil mais très à l'aise comme si elle rencontrait une vieille connaissance au Bon Marché!
- Bon, conclut Paul, cela me ferait vraiment plaisir de vous faire découvrir mon coin de plongée privé! Demain dans la matinée, je vous emmène et on mangera des oursins, qu'en dites-vous?
Marie-Cécile me regarde et je sens que l'idée lui plait pas mal.
- Avec plaisir.
- Bon, dit Paul, cela sera une promenade superbe! En attendant, je vais rentrer, je dois bricoler un peu sur mon bateau et faire le plein. à demain sans faute! On se retrouve ici.
Il nous fait un clin d'oeil et s'éloigne. Quelques minutes plus tard, il remonte son ancre et le bateau s'éloigne, lentement puis il accélère et s'éloigne vers la sortie du golfe..
- Tu avais raison, me dit Marie Cécile en suivant la trajectoire du regard, il est sympathique et puis, tout-à-fait de notre milieu!
- Sans doute, lui dis-je, mais tu as vu comme il t'a maté?
- Oh, tu racontes n'importe quoi, fait Marie Cécile, d'ailleurs, c'est normal sur une plage tout le monde regarde tout le monde.
Je suis partagé entre l'excitation de voir ma femme si à l'aise à poil devant un inconnu et la gêne de cette semi complicité que le gros porc a établi avec moi avec sa faconde et ses clins d'oeil. Bon, tout cela n'engage à rien, me dis-je, on peut se balader avec lui et basta. `
Quelques heures plus tard, nous décidons de rentrer à l'hôtel. De retour dans notre jolie chambre, Marie Cécile se déshabille pour aller prendre sa douche. Je la regarde se mettre à poil puis la pousse sur le lit. Elle pousse un petit cri de surprise.
- Mets toi à quatre pattes salope. lui dis-je
- oh, mais tu es un vicieux dit-elle émoustillée, tandis que je l'enfile sans barguigner et la pilonne tout en matant ses gros seins qui ballotent dans la glace d'une armoire obligeamment placée à droite du lit.
Elle se met à gémir assez vite tandis que je lui fesse sa croupe en la traitant de petite cochonne et deux minutes sont à peine nécessaire pour que je me mette à gicler tandis qu'elle pousse un feulement de bon aloi.
Je sais qu'elle ne jouit pas à tous les coups avec moi, mais en général, elle grimpe vite au rideau!