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Véro, un cocktail de plaisir /3Vero m'embrassait, je me délectais de ses baisers langoureux, de sa langue délicate. Mes mains parcouraient son dos, des épaules jusqu'aux creux de ses reins. Elle était allongée sur moi, sa vulve, détrempée, posée sur la base de mon sexe. Elle mouillait tellement que je sentais son jus s'écouler sur mon pubis et mes bourses. J'espérais que son désir soit suffisamment fort pour qu'elle envisage une suite à notre première nuit pour que je puisse enfin libérer ma semence qui infusait dans mes couilles depuis plus de deux heures.Après une bonne dizaine de minutes à nous embrasser et à la caresser, elle me lance:-"J'ai envie de te sentir en moi......, mais j'ai un peu d'appréhension..."-" Pourtant, j'ai l'impression que tu es plutôt très excitée à cette idée, si j'en crois l'état marécageux de ton petit minou"- "Oui, c'est vrai que j'en ai très envie, mais comme j'ai eu beaucoup de mal à te prendre en bouche....."- " Si tu veux, je reste sur le dos, et je te promets de ne pas bouger, c'est toi qui est à la barre..."- " c'est le moins que l'on puisse dire..." me dit elle avec un grand sourire.Elle passa une main entre nos deux corps et se saisit de mon manche, le redressa légèrement et présenta mon gland devant l'entrée de sa grotte d'amour.Elle ne posa un baiser sur les lèvres et comme pour s'encourager se lança:" Allez ma Véro, ça va aller, tu vas adorer..." et en même temps elle fit un petit mouvement d'avant en arrière.je sens mon gland forcer un peu le passage étroit de son vagin. Elle s'arrête, prend une respiration profonde et fait bahis siteleri un nouveau petit mouvement arrière. L'introduction de mon sexe en elle lui fait ouvrir la bouche en grand, mais pas un cri, rien, pas un mouvement, elle laisse nos sexes s'habituer l'un à l'autre. Elle prend une nouvelle grande respiration et recommence. Elle fait cela encore deux fois jusqu'à avoir ses lèvres plaquées contre mon pubis. Elle me regarde pour la première fois depuis le début de la pénétration, son visage commence à se détendre, comme j'imagine que le fait son sexe. Puis un sourire, un grand sourire, et elle vient m'embrasser." Je crois que je suis faite pour toi, je n'ai même pas eu mal..." me dit elle avec un sourire coquin que je ne lui avais encore jamais vu.Elle replace ses genoux de part et d'autre de mes hanches, pose ses mains de chaque cotés de ma têtes, vient me poser un nouveau tendre et délicieux baiser, puis commence à onduler très lentement sur moi. Après quelques mouvements circulaires, elle entreprend de tous petits va et vient très lent et augmente tranquillement l'amplitude de ces aller-retours.Elle me sourit, mes mains sont posées sur ces fesses, mais je ne participe pas à ses mouvements, je les subis avec plaisir. Voyant qu'elle gérait merveilleusement, je commence à caresser, malaxer les deux pommes qui dansent devant mes yeux. J'att**** entre mes lèvres, à ma volée, un téton dressé et tendu comme de fierté. je joues un peu avec puis passe à son frère jumeaux jaloux.Véro a sérieusement accéléré, elle s'agite, ses mains se posent sur mes pecs, elle canlı bahis siteleri se relève, son corps est comme traversé par la foudre, elle s'électrise, puis se jette en avant. j'ai juste le temps de poser ma main sur sa bouche pour étouffer ses hurlements de plaisir pour ne pas réveiller tout l'immeuble, même faiblement remplit le week-end. Elle libère mon membre et m'arrose copieusement le ventre, le pubis, le pénis, les bourses et les cuisses de son jus visqueux.J'ai l'impression, qu'elle n'est plus perturbé par la façon dont son corps célèbre ses jouissances, elle les assume totalement et me lance avec son sourire coquin:" je crois que tu mouilles plus que moi.... tu es trempé... " puis se lève et me dit:" Lèves toi et viens me prendre en levrette, j'aimerais te sentir jouir en moi dans cette position"" Tes désirs sont des ordres, je te promets que tu vas bien me sentir..."Elle se met à genoux sur le bord du lit, les coudes et la tête posés sur l'oreiller et avec un grand sourire me dit:"Aller viens mon chéri, fais nous jouir."Je m'avance vers ce magnifique cul tendu vers moi, les fesses sont encore brillante de ses précédents plaisirs. Sa vulve est béante de mon précédent passage et m'appelle pour une nouvelle chevauchée. je pose une main sur cette merveille de la nature et de l'autre je présente mon gland et le glisse directement en elle.Je l'att**** par les hanches, et avant de la pénétrer, j'admire ce corps, ce cul, et son ?illet rose qui me regarde. Je me surprends à lui parler et lui dit:"Dans quelques temps, mon petit, se sera ton tour..."Elle canlı bahis me répond:" Avec plaisir, mais pour le moment prends moi bien fort par la chatte, viens la remplir".Cette vulgarité que je ne lui connaissait pas me surprend mais ne ma déstabilise pas. D'un coup et sans qu'elle est eu le temps d'en dire plus, je m'introduis jusqu'à la garde. Elle enfonce son visage dans l'oreiller pour étouffer un énorme râle de plaisir.Sans lâcher ses hanches menues, j'entreprends mes mouvements de pistons lents et profonds. A chacune de mes pénétrations mon gland s'écrase contre le fond de son vagin et lui fait pousser un cri de plaisir. Je pourrai la fourrer de la sorte pendant des heures, mais pour elle, il n'en est pas de même. Après un bon quart d'heure, je la vois gigoter entre mes mains, signe d'un orgasme en approche. J'accélère, et j'accélère encore, je sens la sueur coulée entre mes omoplates, le long de la colonne et jusqu'à ms fesses...Ça y est, elle explose. Entre mon rythme effréné et la crispation de son vagin autour de ma queue, j?explose quasi simultanément et déverse en elle un torrent de sperme brulant. Je suis pris de spasme je retiens mes cris de plaisir et continus mes va et vient. A chaque retour, je vois s'écouler de son sexe, le cocktail débordant de notre premier plaisir commun.L'effet de l'orgasme retombé, je retire de sa grotte mon membre à peine ramollit, et regarde le ruisseau de plaisir s'écouler lentement sur le sol de la chambre. je viens poser un baiser sur chacune de ses fesses, puis m'allonge à ses cotés. Elle vient se blottir contre moi et me dit:" Putain, quel pied, je n'aurai pas crus ça possible. Merci, Laurent, mon chéri, je peux t?appeler mon chéri?""Bien sur, tu m'appelles comme tu veux, ma belle".Puis nous nous sommes endormit, il devait être 5h du matin.....