admin

Constance: une histoire compliquée.Plusieurs semaines s'écoulèrent suite à cette nuit sans que nous recommençions nos ébats. Novembre puis décembre passèrent. La semaine préçédent Noel je commençais à me sentir terriblement frustré par la situation. Un soir après nos cours de théâtre en rentrant chez nous n'y tenant plus je déçidais de clarifier les choses. -Ecoute, tu m'avais fais promettre qu'il n'y aurait plus rien entre nous après cette nuit dans ton studio mais maintenant je dois te le dire il m'en faut plus, j'en veux davantage. Alors c'est vrai je suis peut-être pas LE gars extraordinaire dont tu rêve au plumart mais au moins je suis là ,j'ai compris que tu ne croyais pas au prince charmant et du reste je m'en moque alors du coup pourquoi ne pas se revoir tant qu'à faire?... Hein?... Dis-moi?.Le visage de Constance s'était tournée vers moi. Elle paraissait aussi surprise que moi de mon audace. Personnellement j'en étais arrivé à un niveau élevé de frustration. Il me fallait réagir.Après un moment de silence.-Tu sais ce n'est pas si facile pour moi, tu sais que je vois ce chirurgien... sa femme lui interdit l'accès de son lit...-Et c'est lui qui assure ton loyer et tes factures, bahis firmaları je sais tout ça. De ce que j'ai pu en entendre je m'en doutais un peu alors pourquoi ne pas refaire ça?. Toi et moi on a jamais souscrit à ce mythe du grand amour alors pourquoi ne pas continuer ?. Du reste je suis surpris que tu vienne encore en cours de théâtre, on y passe la moitié du temps à bavarder et l'autre moitié on le consacre à mollement répéter une pièce que l'on ne jouera probablement jamais à la fin de l'année. On peut difficilement penser à un projet théâtrale dans ces conditions...-Tu as raison je n'ai pas d'excuse mais ce n'est pas pour autant que tu peux me juger.-Je ne te juge pas. Peut m'importe de savoir à qui d'autre tu offre ton cul du moment que tu me l'offre à moi aussi. Ce que je souhaite c'est qu'on se revoit en dehors du lycée. Je ne te force pas la main ,tu as juste à me dire si tu veux ou pas.Je crois que c'était la première fois que je parlais à Constance de cette manière là. Je pense même que c'était la première fois que je parlais comme ça... L'appel du sexe.Brut. Instinctif.Il lui fallut un certain temps pour me répondre.-Tu sais que ce n'est pas facile. Il a vraiment des kaçak iddaa problèmes conjuguaux et il n'est vraiment pas bien.-Et alors?. Tu ne vas pas toujours jouer à l'infirmière?. Il s'en remettra. Du reste j'ai également entendu parler d'un chauffeur de bus...-Comment tu sais tout ça ?... c'est vrai j'avoue. Lui c'est autre chose... je t'en parlerais à l'occasion mais tu sais les choses ne sont pas simples...Pour moi non plus les choses ne sont pas simples. Moi ce que je demande c'est si on peut se revoir en dehors du lycée.-Bien sûr que c'est ce que je veux mais tu sais mon chirurgien est tellement jaloux!!!...-Qu'est ce que l'on en a à foutre qu'il soit jaloux ?!!!...Il n'est pzs obligé de savoir...Le temps que cette conversation se termine l'on se rendit compte que j'avais raté ma station de métro et que l'on se retrouvait bientôt à celle d'où descendait Constance.-Du coup je me sens maintenant obligée de t'inviter chez moi !... Je te préviens je n'ai pas fais les courses. Je n'ai ni café ni soda à te proposer...-Pas de problème je m'en remettrai...Une fois dans le studio de Constance l'on se mit tout de suite dans l'ambiance en s'embrassant fougueusement tels des fauves enragés. kaçak bahis Elle avait vraiment de très gros nichons la garce, je pouvais les sentir à travers ses vêtements. Son mètre quatre-vingt s'accordait magnifiquement avec ses formes généreuses. Je pelotais son fessier qui était plus large que de raison. Malgré ses dix-sept ans je savais qu'elle avait déjà connu une grossesse et que son bassin s'était modifié en conséquence de telle sorte qu'elle possédait la silhouette plantureuse d'une mère de famille nombreuse.Je lui ordonnais de se mettre à quatre pattes sur le lit et m'empressais de m'asseoir à califourchon sur ses fesses à la manière d'un cavalier sur sa monture.Quelques minutes après on se retrouvais nu et elle me suça. Elle se montrait une suçeuse goûlue, n'hésitant pas à accompagner sa pipe de quelques bruits de bouche obscènes qui décuplaient mon excitation.Ensuite je la reprenais à cheval ,en levrette,cette fois ma bite dans sa chatte. Son gros derrière était tellement appétissant que je ne pouvais m'empêcher de lui infliger des claques malgré ses protestations. La chose dura un long moment avant que je ne jouisse sur sa belle chatte pleine de poils noirs.Pendant un moment elle me fixa de ses yeux magnifiques en amande, la langue pendue comme pour mieux illustrer son degré de nymphomanie. Ce fut le commencement d'une période de mon existence qui allait se révéler chaude et intense...