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L'invitation d'AdelineAdeline l'autre jour m'envoie un message me racontant une épopée érotique avec son mari Eric.«*Je me suis bien faite prendre comme une belle salope que je suis par mon étalon préféré. On est parti sur sa Kawa , intégralement* vêtus de cuir. En roulant à vive allure sur nos belles routes sinueuses de Provence, avec la griserie de la vitesse, je n?arrêtais pas de le chauffer. Je caressais son membre sous sa combi. Il bandait comme un taureau. Je sentais qu'il n'allait pas tarder à exploser. Je l'entendais crier dans son casque «*Vas y ma chienne*! Caresse moi cette grosse queue que t' aimes tant !*» Mais il arrive à se retenir pour ne pas éjaculer dans sa cuir. Pour le retour, C'est moi qui ai pris le guidon. Tout en roulant, j'essayais de garder mon sans froid pour piloter. Mais c'était difficile avec Eric qui me tripotait en m'insultant. Il sait que j'adore ça et que ça a le dont de m'exciter au plus haut point. Je roulais de plus en plus vite. Je mouillais comme une grosse cochonne. L''intérieur de mon cuir à mon entrecuisse baignait dans ma cyprine. J'avais très envie de le sentir en moi et qu'il me prenne comme un sauvage. Dés arrivés au garage, nous sommes descendu précipitamment de la moto et je m'étais ruée sur sa bite pour lui faire une bonne bonne pipe. Ensuite, il m'avait pelé comme une banane et, sans ménagement, il m'avait pilonné en me secouant comme un forcené avec son gros engin. Au moment d'exulter, il était ressorti pour se finir sur ma figure en me remerciant. «*T'es vraiment trop bonne ma pute*! Tu n'as c'que tu mérites. Maintenant essuie ma queue avec ta bouche de salope*!*» C'est docilement et avec le plus grand plaisir que je m'exécutais. Quel pied avions nous pris !* Eric aimerait bien que nous faisions une balade ensemble. Salope comme tu est je suis certaine que tu aimerais la queue de mon étalon.*»Rien que de penser à ce périple sexo-motard, je mouille comme une vraie salope. J'en parle à Alain qui est partant et propose même de faire participer, Christian, Seb, Ben, David et Guillaume. Ils sont tous bien montés et endurant. Toujours partant pour de nouvelles expériences, ils acceptent aussitôt. Le rendez-vous est pris pour le week-end suivant et je présage une balade mémorable. Le jour J, quand je vois la belle Adeline arrivée vers moi gainée dans son ensemble en cuir, je commence déjà à mouiller. Le temps est magnifique et les route bien sèche contrairement à moi. Alain semble particulièrement intéressé aussi illegal bahis par les courbes d'Adeline que sont cuir met en valeur. Il semble assez évident qu?elle ne porte rien en dessous.Nous voilà parti. Eric ouvre la marche et nous enfilons les virolos de la corniche à vive allure. J'adore ça. C'est grisant. Je ressent les vibrations de la machine et me colle à mon homme. Mes mains se font baladeuse et je sens la belle raideur de sa verge en érection prisonnière de son cuir.Nous nous arrêtons à quelques reprises et Adeline et moi nous nous amusons à allumer nos bonshommes sans vraiment les laisser nous toucher. Tout nos mâle sont en chaleur et n'ont qu'une envie, nous sauter comme les chiennes que nous sommes. Lors d'un des arrêts, nous poussons même le bouchon plus loin en nous caressant devant eux et en nous embrassant langoureusement.Pour l'arrêt du midi, nous nous arrêtons un coin isolé prés d'une cascade. Comme il fait chaud, sans aucune pudeur, Adeline enlève le haut de sa combine et exhibe devant tout les motard sa jolie poitrine pour se dorer au soleil. Alain me glisse à l'oreille*:«*C'est une belle allumeuse ta copine. Pourquoi ne la rejoins-tu pas qu'on se rince l??il avec deux belles salopes*?*»Ni une ni deux je me retrouve totalement nue aux côtés d'Adeline qui affiche un large sourire en me voyant dans le plus simple appareil. Les mecs nous sifflent et Eric exhorte sa femme à en faire de même. Par provocation, nous commençons à nous gouiner devant leurs yeux ébahis. Les mecs ont sorti leurs queue et sont prêt à nous sauter dessus. C'est pas l'envie qui nous en manque mais l'une comme l'autre nous avons envie de jouer avec eux pour que le bouquet final soit hors du commun. Au moment fatidique, nous remettons nos cuir en laissant un décolleté profond et comme de si rien n'était, nous leurs lançons*:«*il serait temps de nous restaurer si nous voulons continuer*!*»Nos hommes frustrés et dépités acceptent en maugréant. Aprés nous être restaurés, nousNous reprenons la route et je n?arrête pas de penser au moment ou nous allons nous faire saillir. A force de les chauffer, ils vont être de vraies bêtes furieuses. En fin d?après midi, nous faisons une dernière halte dans un coin idyllique et perdu en pleine montagne. Nos mecs sont chaud bouillant et nous aussi. Nos bouches sont prisent d'assaut et les mains se font baladeuses par dessus nos cuirs. Nos langues dans leurs bouches sont actives. Nous palpons sous leurs combinaisons des queues illegal bahis siteleri raides et prisonnières de leurs carcans. Leurs mains et leurs bouches nous mettent dans un tel état que nos combardes n'ont pas besoin d'être graissées. Les mecs sont si excités qu'il se chamaillent pour prendre qui un un seins, qui une bouche, qui une chatte. Adeline dans un miaulement me dit*: «*Quel chance que tu sois venu avec tes amis.*»Ils continent un bon moment à nous peloter aux travers de nos cuirs. Les sensation sont merveilleuses et nous nous laissons porter par la ferveur ambiante. Nous miaulons et ondulons sous leurs caresses de plus en plus appuyées et intimes. Je ne rêve que du moment où ils vont nous mettre à poil pour nous sauter. Des queues se frottent contre nos fesses. Des mains font glisser le zip de nos combis. Nous avons les seins à l'air et ils s'activent dessus en les malaxant et en pinçant plus ou moins durement nos mamelons fermes d?excitations. Les mecs se dé-poilent exhibant leurs queues bandantes comme des ânes. Des mains se glissent sous nos combi largement ouvertes maintenant et fouillent nos chattes chaudes et détrempées. Les doigts se font inquisiteurs. Nous poussons de longs gémissements de plaisirs. Notre excitation est à son comble. Les verges bien raides sont provocantes. Nous avons hâte de nous faire défoncer et leurs disons ouvertement. D'un coup ils nous retirent nos cuirs et nous forcent à les sucer. Bien entendu, nous ne nous faisons pas prier. Ce n'est que du bonheur que de sentir leurs virilités vibrer dans nos boches avides.Des bouches des mains s'activent sur nous. Une langue habille s'occupe trop bien de mon clito et je suis au bord de l'orgasme. Adeline est déjà à quatre pattes prise par tout les trous.Je me tortille sous ces divines caresses. A mon tour, Je me prends la Bite de son mari dans la chatte et je sais que mon cul va bientôt être comblé par Christian ou un autre. En tournant la tête entre deux bites, je vois mon mari qui encule sévèrement Adeline qui semble aux anges. Quand un queue me prend en double en passant la barrière de ma rosette,je pousse un cris et cette pénétration qui aurait pu être douloureuse déclenche en moi un orgasme réprimé depuis un trop long moment. Les mâles en ruts commence à lâcher leurs sauces dans nos bouches et sur nous.J'avale toute la crème de l'un d'eux. Celui qui se lâche dans mon cul en profite pour me pincer sauvagement les mamelons. Cette douleur me provoque une exquise canlı bahis siteleri sensation. Pendant ce temps, Adeline n'en finit pas d'être baisée frénétiquement par ceux qui bande encore. Les bourses vides, nos mâles nous laisse en admirant leurs deux chiennes couvertes couvertes de spermes. Nos corps luisent au soleil couchant leurs offrant un dernier spectacle en nous enlaçant et léchant leurs sécrétions sur nos peau dorées.Nous avons ensemble un dernier orgasme féminin sous les applaudissement de notre public.C'est les jambes flageolantes et épuisée que nous enfourchons les motos. Eric veut que je fasse le chemin de retour derrière lui et Alain d'autorité prend Adeline sur la sienne. Je me colle à Eric et me laisse aller au rythme des virages. Mes main sont accrochés à son chibre qui grossis au fil des virolos.A peine arrivé chez eux, je saute de la moto et devant les autres ravis, je lui prend le sexe pour une divine fellation. Mes mains caressent ses couilles. Ma bouche l?aspirer et ma langue agile agace son gland.«*Tu pompe aussi bien que ma chienne salope*!*» Me dit-il.Curieux de le savoir, Alain lance à Adeline*:«*Pompe-moi le n?ud que je sache si c'est vrai que t'es aussi chienne que ma pute*!*»Adeline, toujours prête, démarre au quart de tour et se met à lui montrer son savoir faire. Elle me jette des petits regards de défi. Le résultat ne se fait pas attendre longtemps et les deux hommes jouissent presque en même temps dans nos bouches. Nous avalons leurs sperme en nous regardant. Mais les autres ne veulent pas rester simples spectateurs. L'excitation étant à son comble, ils nous sautent dessus et nous prennent comme des sauvages, nous assènent de grand coup de reins. Je sens les couilles qui battent sur mon cul pendant que d'autres me bourrent la bouche. Nos maris, un peu à l'écart, se congratulent d'avoir d'aussi bonne salopes.Prisent en levrettes comme des femelles en chaleurs, des doigts fureteurs élargissent nos ?illets. Je présents que mon petit trou ne va pas rester longtemps vide. Et j'avais raison. La queue qui me bourrait la chatte, change de secteur et la taille imposante du sexe qui me force, me fait grogner de douleur. Il force le passage. Mais malgré la douleur, j'y prends du plaisir. Une fois bien au fond de moi, il ne bouge plus un instant. J'entends Christian qui me dit*:«*On est au paradis à l étroit dans ton cul salope*!*»Il se met alors à me limer durement. Il gicle bien encré dans mes fesses et aussi tôt laisse la place à un autre. Adeline et moi prisent de tout côté en terminons certains dans nos bouches. Une foi tout ce beaux monde vidé de leurs substances, il est temps le temps des adieux et nous repartons chacun de nos côté après une journée épuisante de sexe.